VALAska | Dimensions (physiques)

Médium : Encre sur papier / Impression de jet d'encre sur papier

Édition(s) : 1/1

Taille/Grandeur : 18"x24"

Le prix comprend le cadre. Le prix inclut le cadre.

Biographie

Valaska (Valérie Gaudreault-Guilbert) est une illustratrice indépendante vivant actuellement en banlieue de Montréal. Après un parcours autodidacte puis diplômée d'une année en illustration publicitaire au Collège Salette, elle se lance dans la création d'affiches pour des événements/personnalités publiques et réalise au passage des illustrations éditoriales. Depuis 2018, elle est également membre professionnel de l'organisme à but non lucratif Illustration Québec. Grâce à la peinture numérique, son point de vue donne la priorité à l'art en tant qu'outil de justice sociale et elle est toujours désireuse de communiquer son amour pour tout ce qui vit à travers des portraits ou des sujets humoristiques.

Valaska (Valérie Gaudreault-Guilbert) est une artiste pigiste de la Rive-Sud de Montréal. Suite à un parcours autodidacte puis à l'obtention d'un diplôme en illustration publicitaire au Collège Salette, elle crée des affiches pour divers événements/personnalités publiques et fait plusieurs projets d'illustration éditoriale et publicitaire en cours de chemin. Depuis 2018, elle est également membre professionnel de l'organisation Illustration Québec. À travers la peinture numérique, sa perspective priorise l'art comme outil de justice sociale et elle sera toujours impatiente de communiquer son amour pour toutes choses vivantes par le biais de portraits ou de sujets humoristiques.

L'explication avec la thématique de l'exposition

Cette série d'œuvres représente des espaces virtuels imaginés parmi lesquels la notion du soi serait plus ou moins égarée. Les choses matérielles et les formes remplacent la présence d'un autoportrait tangible, pour plutôt donner l'impression d'une identité incertaine face à l'immensité du web. En trois temps, elles visitent les thématiques qui s'entrecroisent. D'abord, le sentiment de saturation qu'offrent les propositions infinies du divertissement virtuel (Internet des objets). Puis, la recherche d'un équilibre en présence d'algorithmes accueillants, conçus pour devenir addictifs (Equilibrium). Et enfin, l'intangibilité des repères dans le monde numérique, symbolisée par une composition d'éléments illusoires (Dimensions).

L'usage de teintes ludiques invite à l'ironie et à la réflexion, à l'ère d'une réalité numérique où les vidéos de chats resteront toujours, bien sûr, la meilleure des distractions possibles au moment d'aller dormir après une longue journée.

Explication du rapport avec le thème de l'exposition

Cette série d'œuvres représente des espaces virtuels imaginés parmi lesquels la notion de soi se serait plus ou moins perdue. Les choses et les formes matérielles remplacent la présence d'un autoportrait tangible, pour plutôt donner l'impression d'une identité incertaine face à l'immensité du web. En trois temps, ils visitent des thématiques qui s'entremêlent. Il y a d’abord le sentiment de saturation offert par les propositions infinies du divertissement virtuel (Internet des objets). Ensuite, la recherche d’équilibre en présence d’algorithmes d’accueil a vocation à devenir addictive (Equilibrium). Et enfin, l'intangibilité des repères dans le monde numérique, est symbolisée par une composition d'éléments illusoires (Dimensions). L’utilisation de teintes ludiques invite à l’ironie et à la réflexion, dans un monde numérique où les vidéos de chats resteront toujours, bien entendu, la meilleure distraction possible avant de se coucher après une longue journée.